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Olivier Missoup et Hugo Bonneval : Deux Dieux du Stade se confient à Closevent
A l'occasion de la sortie du calendrier 2013 des Dieux du Stade

Les dieux sont de retour pour la 13ème année consécutive. Mieux que les clichés en papier glacé qui fascinent un public de plus en plus large, Universal propose le Making Of en DVD du calendrier le plus sulfureux de l’année. Les dieux à la plage, sur un vieux gréement, au bord d’un lac et, pour la première fois,   la participation d’une déesse, danseuse au Crazy. Une quarantaine de photos signées François Rousseau, sur les joies de l’eau et la musculation. Pour le fun et le plaisir des yeux !

 

Closevent : Vous participez à la 13e édition d’un projet qui a considérablement évolué. Dans quel esprit avez-vous rejoins l’aventure ?

Olivier Missoup : Le projet s’est en effet ouvert à d’autres stades, d’autres sports, d’autres pays. On retrouve des valeurs très sportives avec ce calendrier, comme faire venir des personnes d’horizons très différents, des sportifs « invités ». C’est aussi un projet où il faut lutter contre une certaine forme de timidité ou de pudeur. Mais je retiens avant tout de ce projet un moment de franche rigolade.

Hugo Bonneval : Je participe pour la troisième année à ce calendrier. C’est en effet un moment de franche rigolade… on retrouve des joueurs avec qui on joue depuis 5-6 ans ;  mais quand les maquilleuses nous demandent de nous déshabiller, là on fait moins les fiers.

 

Closevent : Comment s’est fait le shooting ?

Olivier Missoup : On a tourné dans des endroits isolés, très beaux. Il n’y avait pas de curieuses ou de curieux … Le calendrier est maintenant beaucoup plus « artistique » ; ma fille peut tomber dessus sans que cela pose problème.

Hugo Bonneval : Le fait de connaître le photographe est rassurant. Sur les centaines de clichés qu’il prend en une journée, on peut lui faire entièrement confiance sur le choix qu’il fera. On sait qu’il sera bien. On fait de la musculation toute la journée et on espère que les photos ne seront pas trop retouchées…. Mais aujourd’hui même Kate Moss ou Miss France sont photoshopées.

 

Closevent : Avec la vidéo, le making of vous expose différemment. Est-ce que cela a été une contrainte pesante au moment du shooting ?

Olivier Missoup : On nous filme et on nous photographie toute la journée … Au bout de quelques heures, on n’y fait même plus attention. Ce n’est pas comme jouer un rôle au cinéma. Notre métier reste le rugby : ce que l’on voit c’est un morceau de vie entre sportifs.

Hugo Bonneval : Cela a été pour moi une totale surprise, car on n’a pas vu de camera « traditionnelle » pendant le shooting. On peut maintenant tout faire avec un Reflex numérique. J’étais anxieux  à la première séance, quand j’avais 19 ans, mais maintenant que l’on connaît l’équipe il n’y a plus d’appréhension, que ce soit pour la version photo ou le « making of » filmé.


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